La crise sanitaire et la diminution des contacts professionnels physiques qu’elle entraîne est l’occasion de repenser son jeu de cartes de visite et de mieux savoir présenter une carte de visite. On le sait bien maintenant, la carte de visite est un élément essentiel de toute panoplie professionnelle. Au même titre qu’un smartphone.
Et elle a, de même, conquis une large place dans le cadre des relations interpersonnelles non professionnelles. Tout simplement parce qu’elle est pratique. Certes, on peut toujours échanger des numéros de téléphone en ajoutant un contact à la liste mémorisée dans son appli.
Mais, de toute façon, ça reste plus complet et plus rapide quand on échange des cartes de visite. Cela vaut donc la peine de passer en revue les occasions dans lesquelles on présente une carte de visite et les points clefs à ne pas négliger pour que cette carte de visite soit présentable.
Quand et comment présenter une carte de visite ?
Les japonais ont fait de l’échange des cartes de visite un acte social très ritualisé. Sans entrer dans les détails de ce qui s’appelle là-bas la cérémonie de la meishi, on peut néanmoins en retenir quelques principes.
La carte de visite est une image de soi
C’est, sans doute, le principal facteur qui sous-tend tout échange de cartes de visite. Il en découle, naturellement, toute une série d’attitudes liées à cet échange. Quel que soit son cadre.
Une carte de visite ne se donne pas n’importe comment.
Car, c’est une part de soi qu’on donne. Maltraiter une carte de visite au moment où on la donne, c’est un peu comme si on ne se respectait pas soi-même. Or, si on se respecte soi-même, pourquoi les autres vous respecteraient-ils ?
Sans importance, vraiment ? C’est pourtant de ce respect que dépend, par exemple et entre autres, le choix d’un horaire ou d’une date de réunion qui convient, ou pas. C’est la raison pour laquelle, quand on présente une carte de visite, on prend le temps de le faire. Autrement dit, on choisit son moment et on fait durer l’instant, autant qu’il est nécessaire.
Ce qui vaut pour soi, vaut aussi pour ceux à qui on remet sa carte.
S’il y a plusieurs personnes concernées, il est souhaitable de commencer l’échange en la remettant à la personne ayant, a priori, le plus de responsabilités ou de poids. Ce qui revient à dire, notamment, qu’avant de s’asseoir à sa place dans une salle de réunion, pour ensuite, distribuer à la volée ses cartes de visite, comme des cartes à une table de jeu, on fait le tour des uns et des autres, en donnant tranquillement sa carte, suivant l’ordre hiérarchique ou d’importance supposé, et on s’assoit après. En général, le positionnement des uns par rapport aux autres se remarque facilement. Il y a, ainsi, par exemple, bien peu de chances pour qu’un collaborateur N -3 soit juste à côté du big boss ou d’un N-1.
Donner est une chose, recevoir en est une autre.
De ce point de vue, le rituel japonais est très éclairant. Il accorde autant d’importance à l’un des sens qu’à l’autre. De ce fait, quand on reçoit une carte de visite, on s’accorde également un instant pour la lire, lentement, des deux côtés.
Et, si elle est particulièrement soignée, on en profite pour en faire la remarque à son interlocuteur. C’est bien par des amabilités que commence, en général, toute négociation ou discussion, non ? En voilà une, toute trouvée.
En tout cas, recevoir une carte de visite, y jeter à peine un oeil et la « fourrer » immédiatement dans un vieux portefeuille ou dans son sac à bandoulière n’est pas terrible. Il y a de petits détails qui tuent !
La carte de visite est une image de l’entreprise
« Mais, bon sang, c’est bien vrai ! » disait le célèbre commissaire Bourrel, de l’antique série télévisée, en concluant une enquête et en tapant du poing la paume de l’autre main. En effet, tout ce qui précède s’applique d’autant plus dans des rencontres spécifiquement interentreprises et non plus inter établissements ou inter départements d’une même entreprise, lorsque les interlocuteurs ne se connaissent pas. Ou bien encore, dans le cadre de simples relations interpersonnelles.
Dans ce ce cadre, l’image de l’entreprise se superpose à l’image de soi. Si on se réfère à l’exemple japonais, il y a des cas où l’entreprise est tellement prédominante que le nom de l’interlocuteur ne figure même pas sur sa carte. Seule compte la fonction qu’il y occupe. D’ailleurs, ajoutons que lorsqu’il la quitte, il y laisse aussi, en plus des autres outils de travail appartenant à l’entreprise, ses cartes de visite.
Quoi qu’il en soit, d’une manière générale, c’est bien mal considérer son entreprise que d’en donner à la va vite la carte de visite sur laquelle on figure. Idem, dans l’autre sens.
Rappel des points clefs d’une carte de visite présentable
Des points qui précèdent découlent un certain nombre de points clefs à respecter pour avoir toujours des cartes de visite présentables. Car, présenter une carte de visite dans de bonnes conditions ne suffit pas, si cette présentation est faite avec des cartes de visite qui ne sont, justement, pas présentables. Et pire, présenter de telles cartes de visite dans les règles de l’art, c’est insister sur leur aspect négligé et dévalorisant.
Un comble ! A éviter, absolument !
Des cartes de visite nickel chrome
Une carte de visite présentable est une carte de visite immaculée et sans pli. Quelque fois, pressé par le temps ou par les circonstances, on peut être tenté de donner la première carte venue. Celle qui se trouve dans son portefeuille ou qui traîne dans sa sacoche à ordi depuis des mois.
Tout faux ! Impression désastreuse garantie ! Autant ne rien donner. Mais, impression désastreuse tout aussi garantie.
La solution ? Avoir suffisamment de cartes de visite. Cela permet d’en avoir toujours sous la main et de les renouveler constamment.
Et vous savez quoi ? C’est très facile de se faire imprimer des cartes de visite pas cher et qui présentent bien. Sur le site web PrintBasPrix, les moins cher reviennent à 0,13 € HT à l’unité à partir de 100. Pas de quoi s’en priver, ni chercher à les conserver ad vitam aeternam.
Faire imprimer des cartes de visite par des professionnels
Trop cher encore ? En êtes-vous bien sûr ? Car dans ce cas, la solution consiste à imprimer soi-même ses cartes de visite avec son imprimante perso.
Facile, puisque les progiciels de l’ordi ont tout ce qu’il faut pour ça. Sauf que, pour que le résultat soit à la hauteur il faut un peu de pratique. Si vous avez déjà essayé, par exemple, d’imprimer des cartes de visite sous Word, vous savez de quoi on parle.
Par ailleurs quand on veut faire soi-même des travaux d’imprimerie, parce qu’on y est incité par la multitude de logiciels de graphisme gratuits qu’on peut trouver sur internet, on oublie qu’outre le temps nécessaire pour les maîtriser, même les plus simples, le prix unitaire de chaque carte produite a vite fait de grimper vers des sommets astronomiques.
Il suffit pour cela d’en imprimer quelques dizaines ; on y arrive rapidement avec les essais et les mises au rebut ; et d’être contraint d’aller acheter un nouveau jeu de cartouches d’encre ou une ramette de papier 350 gr pour le comprendre.
Bref, imprimer des cartes de visite soi-même n’est en aucun cas gratuit, ça prend du temps et le résultat n’est pas garanti. A plus forte raison, si on veut disposer des cartes de visite appropriées à chaque occasion.
Imprimer des cartes de visite appropriées pour toutes les occasions
Une occasion, une carte ; une carte, une occasion. Autrement dit, présenter une carte de visite, ça se décline par occasion. Il y a ainsi les cartes pour tous les jours, les cartes pour les grandes occasions et les cartes pour les évènements spéciaux.
Entre autres, parce que dès qu’on commence à y réfléchir, on voit très vite tout l’intérêt « marketing » qu’il y a à disposer de cartes de visite multiples. Attention, toutefois, à ne pas tomber dans l’un des sept péchés capitaux des cartes de visite.
Cartes de visite pour tous les jours
On ne vise pas, ici, à faire sensation, mais simplement à donner toutes les informations nécessaires pour entretenir, sans peine, des relations de qualité avec un contact. Pour se démarquer, on peut néanmoins jouer sur les dimensions de la carte ou adopter un modèle préexistant pour la personnaliser selon le secteur où l’on évolue ou l’usage principal auquel on la destine.
Cartes de visite pour les grandes occasions
Il ne vous viendrait pas à l’idée de vous rendre à un mariage avec la même veste et le même jean que vous mettez tous les jours pour aller au bureau, n’est-ce pas ? Même chose pour vos cartes de visite. Si vous devez vous rendre à un rendez-vous important et que vous devez y faire bonne impression, c’est le moment de sortir vos cartes « grandes occasions ».
Très bien, mais qu’est-ce qui les différencie de celles de tous les jours ? Mais, les finitions ! Inutile de préciser qu’elles sont impossibles à faire avec une imprimante personnelle à la maison.
En mixant vernis, pelliculage, relief, vous pouvez vous faire imprimer des super cartes de visite qui ne manqueront pas d’être remarquées par vos interlocuteurs et qu’ils seront tentés de garder longtemps. Ce qui est le but, non ?
Les cartes de visite pour évènements spéciaux
Autres cas où on peut avoir besoin de cartes de visite spéciales. On veut parler des occasions comme celles offertes par les salons professionnels, les journées portes ouvertes, les jours anniversaires, etc. La carte de visite devient alors objet promotionnel et permet de donner libre cours à beaucoup de fantaisie.
Elle peut être ronde, en forme de chevalet, et imprimée sur des matériaux très divers, par exemple, en métal, bois ou plastique. Ou encore, prendre carrément la forme d’objets usuels comme un set de table personnalisé, par exemple.
En résumé
Présenter une carte de visite ne se fait pas n’importe comment. C’est une question d’image, pour soi-même et pour l’entreprise dans laquelle on occupe une fonction. Sans aller jusqu’à suivre un rituel complexe comme cela se pratique encore au Japon, il convient de soigner les attitudes qui accompagnent l’échange de cartes de visite.
Mais qui dit attitudes soignées pour présenter une carte de visite, dit aussi cartes de visite présentables. Et là, il n’y a pas photo. Des cartes de visite présentables, ça se fait avec des imprimeurs professionnels.
Du moins, si on ne veut pas perdre son temps et se retrouver avec des frais inattendus. D’autant que c’est simple, bon marché, rapide avec des plateformes en ligne, adossées à des imprimeurs professionnels, installés en France depuis longtemps, comme PrintBasPrix.
