Avec l’invasion du numérique, on peut légitimement en douter. C’est tellement plus simple. D’un clic, on envoie une superbe animation de Noël, de Pâques, ou de quoi que ce soit d’autre à une multitude de destinataires.

A l’apogée de la carte postale imprimée, il s’en échangeait près de 800 millions en France ! Les plus anciennes font le bonheur des collectionneurs. Aujourd’hui, les meilleurs analystes de ce marché, si particulier, ne parlent plus que de 250 millions.

Soit une diminution de 70 % ! Cependant, si on y réfléchit un instant, 250 millions, certes, c’est beaucoup moins que 800 millions, mais ça reste énorme et ça s’est stabilisé à ce niveau. Et, ça aurait même tendance à remonter.

D’où deux questions : cette inversion de tendance est-il durable ? Et, comment peut-on en faire un élément de son marketing ? 

 

Le goût pour la carte postale imprimée reste très fort 

 

Un écrivain, Sébastien Lapaque, en a fait le sujet d’un de ses livres, intitulé « Théorie de la carte postale« . On n’y trouve pas de savantes analyses marketing avec de beaux tableaux Excel croisés dynamiques, mais une très fine évocation littéraire de ce que peut représenter une carte postale imprimée pour les personnes qui les achètent, qui les reçoivent et qui les punaisent aux murs de leur cuisine ou de leur bureau.

Bref, qui les recherchent et les collectionnent. Notons au passage que la lecture de certains romanciers contemporains ou d’auteurs classiques en dit plus long sur les motivations humaines que celle de beaucoup d’ouvrages techniques. 

 

Théorie de la carte postale. Sébastien Lapaque

 

Mais, pourquoi, fichtre, parler de théorie de la carte postale quand on est romancier et essayiste et pas auteur de livres de management ? Parlant, pour l’occasion, à la troisième personne, il répond à la question posée de la manière suivante :

À quelques amis curieux de ses travaux, il avait parlé d’une théorie, non pas d’un éloge ou d’une nostalgie de la carte postale ; ni même d’une apologie ou d’un panégyrique ; encore moins d’un tombeau, comme les poètes en écrivaient jadis en l’honneur des défunts. Il ne souhaitait pas célébrer la carte postale comme tant d’objets disparus du monde d’hier : encriers, moulins à café, cabines à pièces, tiroirs-caisses électromécaniques.

 

La carte postale imprimée n’est pas un objet anodin. 

  Après ça, peut-on imaginer que la carte postale imprimée soit un objet anodin ? L’auteur, Sébastien Lapaque,  poursuit :

Il n’envisageait pas de regarder les cartes postales dans le rétroviseur, ni d’en parler au passé surcomposé, ce temps attachant et incompris – j’ai eu aimé les cartes postales, j’en ai eu écrit, j’en ai eu reçu. Il voulait les évoquer à l’imparfait, ce temps dont l’avant-hier est profond et l’avenir dure longtemps, un temps inachevé et ouvert – j’aimais les cartes postales, j’en écrivais, j’en recevais. Et, il ne mélancolisait pas. Avec ses cartes postales reproduisant des paysages choisis et ses mots écrits au recto, il voulait réinventer un présent plein de lendemains.

 

Sous une forme, beaucoup moins littéraire, de nombreuses enquêtes contemporaines reconnaissent ce rôle permanent joué par la carte postale imprimée. Indépendamment de l’avènement et de la généralisation du numérique. En fait, ce qui a surtout changé, c’est l’usage du papier dans la correspondance privée ou professionnelle.

Recevoir une vrai carte postale apporte beaucoup de valeur à la qualité de la relation entretenu avec son destinataire.

Quant à l’usage récent des cartes numériques, le public en « revient ». Pour une bonne et simple raison. En recevoir une, comme de nombreux autres destinataires, n’est finalement guère valorisant.

Personne n’aime, au fond, se dire que son expéditeur lui a adressé une telle carte, en nombre, comme un mailing.

 

Une carte postale imprimée, ça se travaille

Mais, même si la carte postale imprimée fait plus que résister à l’avalanche des cartes virtuelles, il lui faut défendre chèrement ses positions. Le marché de la carterie n’a guère évolué depuis plusieurs années. C’est que les éditeurs de cartes numériques se sont aussi adaptés.

Il est désormais possible, par exemple, à partir d’un smartphone, de prendre une photo et de l’envoyer à un site web qui se chargera de la transformer, ensuite, en carte postale et de l’expédier à son destinataire. 

 

Une carte postale imprimée, ça se travaille
Une carte postale imprimée, ça se travaille

 

De plus, la carte postale traditionnelle subit les effets des changements de mode et des lieux de distribution. Une fermeture de café-tabac-presse et c’est un tourniquet de carterie en moins. Or, ces derniers temps, il y a eu beaucoup de fermetures de ce type de commerce. 

C’est là qu’intervient l’impression en ligne. Elle permet de s’affranchir des cartes postales éditées par les maisons d’édition traditionnelles, dont les séries parfois s’essoufflent et datent. Il faut bien écouler les stocks.

Mais aussi, des applis promettant monts et merveilles sans que leurs utilisateurs aient de vraies garanties quant à la qualité des cartes qu’elles permettent d’envoyer.

 

Une carterie idéale grâce à l’impression en ligne 

 

Comme aime à le répéter Sébastien Lapaque : 

La carte postale a la même force aujourd’hui qu’hier. Elle est à la portée de tous. (..) L’image est un cadeau en soi et pas cher. On la garde, on l’affiche chez soi. 

Profiter de ce goût permanent pour la carte postale et d’une impression soignée à la demande, c’est ce qu’offre, aujourd’hui, l’impression en ligne. Cette offre est d’autant plus intéressante qu’elle est diversifiée. Outre la carte postale proprement dite, son offre en matière de carterie s’étend aussi bien à la carte de visite, à la carte de fidélité qu’à la carte de vœux.

 

 

Tourniquet pour cartes postales
Tourniquet pour cartes postales

Laquelle peut aussi se décliner en différentes formules, luxe ou standard, suivant la nature des vœux à célébrer ou à fêter. 

 

 

La carte de visite

Commençons le tour d’horizon de cette carterie idéale par un arrêt sur la carte de visite. Elle est évidemment indispensable dans le cadre professionnel. Pour cette raison, il faut pouvoir en disposer à tout moment.

Ce qui revient à dire, qu’il faut pouvoir en avoir toujours quelques-unes, de qualité, autrement dit, au minimum, sans taches et non écornées, à portée de main. Et, bien sûr, à la bonne dimension ! Cela n’empêche pas d’en avoir également à titre personnel et familial. Quand on fait une rencontre, une visite, ça peut être utile. 

On peut s’en faire faire de très belles, pas cher, grâce aux modèles, tout faits et personnalisables, d’un site d’impression en ligne. Et, oups ! N’oublions pas les codes propres à la carte de visite ! Ce serait dommage !

 

Faire faire une carte postale

Compte tenu de ce qui a été dit plus haut, du plaisir que ressent le destinataire d’une carte postale à la recevoir, voilà un moyen hyper simple et peu coûteux pour une entreprise d’entretenir de bonnes relations avec ses partenaires et ses clients privilégiés.

Mais, on peut également se servir du même procédé, pour remercier de leur venue, ou en rappeler le souvenir, les participants à un évènement familial ou amical : entre autres, noces d’or, cousinades ou encore regroupements d’anciens élèves. Ou tout simplement, envoyer une recette typique de l’endroit où on passe des vacances.

Imprimées, recto verso, en format standard A6, on peut facilement commander en ligne des cartes postales personnalisables. Elles existent en plusieurs versions, avec ou sans vernis, par exemple. 

 

Une carte de fidélité, pourquoi faire ?

Elles sont partout. Elles s’accumulent dans les portefeuilles, débordent dans les tiroirs et… finissent par se perdre. Bref, au final, difficile de s’en passer. Aussi bien du côté distributeur que du côté client.

Les distributeurs y trouvent un double intérêt : ils incitent leurs clients à revenir les voir et ils accumulent des infos sur leurs comportements d’achat. Imparable ! Toutes les enseignes, ou presque, s’y sont mises : Cultura, Fnac, Carrefour,…

Les clients ne sont pas en reste. En multipliant les cartes et en jouant des codes promo, certains arrivent à force de suivi et de perspicacité à réduire sensiblement le coût moyen de leurs courses. Ils s’arrangent même pour globaliser leurs cartes et en faire une super carte multi enseigne grâce à certaines appli.

Pas si mal ! De fait, la question de savoir si une carte de fidélité est intéressante ou pas ne se pose pas vraiment. La vraie question est plutôt celle de la maîtrise de ses coûts de gestion. Et là, disons-le franchement, l’impression en ligne de cartes de fidélité personnalisées  est imbattable. 

 

La carte de vœux

Vœux de Noël, vœux de Nouvel An ;  attention, la saison approche ;  ils sont plus que jamais nécessaires et attendus, mais aussi bien d’autres.  Citons-en quelques-uns :

  • Vœux pour fêter un joyeux anniversaire.
  • Cartes de vœux originales pour fêter un prénom.
  • Cartes humoristiques.
  • Vœux en forme de scrapbooking.
  • Faireparts et cartes d’invitation à un mariage, des fiançailles ou un baptême.
  • Etc.

 

Sébastien Lapaque
Sébastien Lapaque

 

Les occasions ne manquent donc pas. Une chose est sûre, recevoir une carte de vœux, cela fait toujours plaisir. Certains vont même jusqu’à compter celles qu’ils ont reçues, à telle ou telle occasion, pour avoir le plaisir supplémentaire de pouvoir s’en glorifier ! Et, c’est tant mieux !

Alors, pourquoi ne pas redoubler ce plaisir en offrant la possibilité d’envoyer des cartes de vœux personnalisées, qu’on ne trouve nulle part ailleurs, sans pour autant casser sa tirelire ? C’est ce que tout le monde peut faire, entreprises et particuliers, en recourant aux services d’impression en ligne de cartes de vœux d’un imprimeur professionnel. 

 

En résumé :

 

Avenir de la carte postale

La carte postale imprimée a, bien sûr, toujours un avenir. Car, elle répond à un besoin profond qu’aucune carte virtuelle, ni même qu’aucune appli spécialisée, ne peut satisfaire. C’est le grand mérite d’un auteur comme Sébastien Lapaque de l’avoir démontré avec son livre « Théorie de la carte postale« .

Cependant, ce qu’il dit à propos de la carte postale, peut être étendu aux autres éléments qui composent une carterie : cartes de visite, cartes de vœux ou cartes de fidélité, par exemple. 

 

Imprimer une carte postale

Par suite, l’impression de cette carterie, idéale en quelque sorte, se doit d’être réalisée avec goût et professionnalisme. Plus c’est le cas, et plus son impact est grand auprès des personnes à qui elle destinée. Et, cela est d’autant plus facile que ça peut être fait, en ligne, 24H/24, 7J/7, avec le soutien, par exemple, d’un imprimeur professionnel, installé depuis plusieurs décennies à Toulouse et disposant de moyens techniques ultra performants. 

 

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